Deux mois se sont écoulés depuis, mais Stéphane Turcot se souvient encore de tout. De l’ambiance, des bâtiments austères, et surtout, de la résilience de ces jeunes Ukrainians venus representer leur pays au Tournoi pee-wee de Québec.
C’est notamment ce qui est raconté dans le documentaire From the border to victory, which will be broadcast on the airwaves of TVA Monday prochain, at 11 a.m. L’émission, qui devait à la base durer 30 minutes, s’échelonne finally sur 1 heure, tant il y en avait à dire et à faire voir.
Inspired by the quête de ces hockeyeurs ukrainiens, Turcot et l’équipe de Communications Rivage are heading to Bucharest, the Rouman capital, which était the point of attachment of this équipe formedée de jeunes exiles par la guerre et d’autres vivant encore Dans le pays frappé par l’invasion russe.
Le tout s’est décidé très rapidly, rappelle Turcot, journalist aux sports pour le réseau TVA. « Peut-être 10 days before departure [le producteur] Pierre Durivage m’a appele. Il demandé m’a si ça temptait d’embarquer me. J’ai tout de suite dit oui. »
“C’est la vraie vie”
L’expérience qu’allait vivre là-bas le reporter, qui fait aussi la narration du documentary, n’était en rien comparable aux nameses covertures d’événements qu’il avait faites au préalable dans sa carrière. « Je suis privilegié d’avoir fait ça, pointe-t-il. Je suis déjà comblé, mais ça, ça dépasse tout sur le plan humain. Ça, c’était du vrai, ce n’était pas du chiqué, desphrases préfabriquées pour faire plaisir à quelqu’un ou donner un show. C’est la vraie vie. »
Capture d’écran tirée du documentaire De la frontière à la victoire
Arrivée de jeunes hockeyeurs ukrainiens à la frontière enter l’Ukraine et la Moldavia.
The documentary, the result of collaboration between three generations of the Durivage family, recounts the crossing of the Ukrainian frontier of four youngsters demeurés au pays, a risky period of people who allait mener toute l’équipe jusqu’à Québec.
Des bombes a la vague d’amour
On and understand the valentux hockeyeurs parler des Fêtes annulées, de leur peur du bruit des bombes. On les voit s’entraîner avec ardeur en Roumanie ahead of the départ, on les suit dans leur arrivée triomphale devant les cáméras à Montréal.
File photo, Didier Debusschere
Well, il ya bien sûr cette demonstration d’amour de la ville de Québec, dans un Center Vidéotron presque plein pour leur premier match à ce tournoi qu’ils attendaient tant, et qui mettait un petit baume sur leurs angoisses du quotidien.
« Le Tournoi pee-wee, j’ai toujours aimé le couvrir. Il ya toujours 1000 histoires, mais dissons que celle-ci va rester dans les annales», souligne Stéphane Turcot.